Dans cet ouvrage, l'auteur prolonge sa critique de la société industrielle en dénonçant la servitude née du productivisme, le culte de la croissance et de la réussite matérielle. Pour répondre à la menace d'une apocalypse technocratique, il propose la redécouverte de l'espace du bien-vivre ou convivialité, voie par laquelle les sociétés s'humaniseront.