Une analyse critique des principes et des pratiques du mouvement pour le climat dans laquelle l'auteur évoque la violence et la non-violence et explique qu'il faut s'attaquer en premier lieu à l'infrastructure fossile et à la consommation. Il invite également à faire la différence entre les émissions de CO2 de subsistance et de luxe, ces dernières étant produites par les ultra-riches.