L'auteur évoque son choix pour l'errance, à rebours de la société japonaise, encouragé par la découverte de la culture et de la langue française. Définie comme un nomadisme intérieur, l'errance est approfondie par l'étude de la figure du rônin, samouraï errant du Japon médiéval, et de héros littéraires comme Rousseau ou musicaux comme Mozart.(Electre)