Combien coûteraient de salarier toutes les activités procréatives, affectives, éducatives, de soin et d’hygiène aujourd’hui réalisées gratuitement par les femmes ? Que resterait-il des profits des entreprises si elles devaient contribuer au renouvellement quotidien de leur masse salariale ? L'auteure propose une réappropriation collective des moyens de la reproduction sociale.(Electre)