Le philosophe estime que l'animal conçu comme un être sensible et vulnérable reste une abstraction, qui, sous couvert d'élever son statut et de lui garantir une protection, ne respecte pas son altérité fondamentale et la richesse de son mode d'existence. Il s'enquiert d'un cadre conceptuel unifié pouvant mettre en cohérence approches environnementales et animales à l'ère de l'anthropocène. (Electre)